Il a le palais formé par les belles quilles, les bières bien faites et les cocktails de bar à shaker. Mais voilà : il veut modérer. Pour un soir, un mois, une vie. Pas question pour lui de troquer son goût pour l’approximation. Heureusement, il n’a plus à choisir : aujourd’hui, le sans alcool a du répondant.
Ce profil, c’est celui qu’on croit difficile. Mais en réalité, c’est juste un amateur de goût. Il sait reconnaître un vin structuré, un bitter bien équilibré, une bière avec du fond. Et quand il décide de passer au sans alcool, il ne veut surtout pas faire semblant. Il veut des produits capables de jouer dans la même cour que ceux qu’il buvait avant. C’est légitime.
Pour lui, les vins désalcoolisés ne sont pas des gadgets. Il cherche un chardonnay droit, aux notes boisées et beurrées pour accompagner son vol-au-vent. Un rouge type merlot ou cabernet pour la pièce de bœuf du dimanche. Un effervescent élégant, style crémant 0,0%, pour marquer les grandes occasions. Il scrute les cépages, compare les terroirs, exige de la longueur en bouche et une vraie structure.
Côté bière, pas question d’eau mousseuse. Il veut de la tension dans une pilsner bien construite, de l’amertume franche dans une IPA sans alcool, du corps dans une ambrée, voire une noire au goût de cacao ou de café torréfié. Ça doit brasser sérieusement, sinon c’est non.
Les cocktails ? Il les aime classiques. Mojito, gin tonic, spritz, negroni… mais bien faits. Pas une limonade verte avec deux feuilles de menthe. Il cherche les répliques fidèles, les bases sans alcool bien pensées (gin 0%, apéritif italien 0%), les bitters aux vraies infusions, les sirops maison. Quand c’est bien dosé, ça passe crème.
Ce buveur-là ne demande pas la lune. Il veut juste un sans alcool qui a le niveau. Et ça tombe bien : aujourd’hui, Gueule de Joie propose des références capables de satisfaire son palais affûté. Des bières artisanales qui ont tout sauf l’air d’un compromis. Des vins désalcoolisés choisis pour leur équilibre. Des cocktails prêts à servir ou à composer, pensés par de vrais mixologues.
Pour lui, le plaisir reste la priorité. Il veut continuer à s’accorder un bon verre en rentrant du boulot. À ouvrir une bouteille en cuisinant. À siroter un gin to sur sa terrasse. Il veut du style, de l’élégance, du goût. Et il ne veut pas se faire avoir par un marketing trompeur.
Le “boit-sans-soif” sans alcool, c’est donc un client exigeant, mais fidèle. S’il trouve de quoi satisfaire ses standards, il revient. Il recommande. Il devient ambassadeur de cette modération moderne, exigeante, décomplexée. Pas pour moins boire. Pour mieux boire.
Chez Gueule de Joie, on l’a compris : ce buveur-là n’est pas prêt à tout. Et franchement, on est bien d’accord avec lui.
